TECHNIQUE 3 ANALYSE TECHNIQUE DES ETAPES DU SAUT et PRINCIPES MECANIQUES 4 LES CONDUITES TYPIQUES DE LAPPRENTISSAGE AU PERFECTIONNEMENT 5 INITIATION et SON CONTENU Main ID: 647577
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SOMMAIRE1. HISTORIQUE2. REGLEMENT TECHNIQUE
3
. ANALYSE
TECHNIQUE DES ETAPES DU
SAUT
et PRINCIPES MECANIQUES
4
. LES
CONDUITES TYPIQUES DE L’APPRENTISSAGE AU PERFECTIONNEMENT
5
.
INITIATION et SON
CONTENU
Main
inférieure point d’appui fondamental
ORGANISATION PEDAGOGIQUE
PERCHE
METALLIQUE/RECEPTION PLAT DOS/SAUTS SUR LE
SAUTOIR
COURSE
/ELAN
: COURSE AVEC PERCHE
LIAISON
COURSE-IMPULSION
: TRAVAIL DU PRESENTE
6. PERFECTIONNEMENT ET RENFORCEMENT MUSCULAIRE SPECIFIQUESlide3
1 - HISTORIQUE Utilisée dès le 2
ème
millénaire avant notre aire comme moyen de déplacement (franchissement obstacles)
Introduction au milieu du 19
ème
siècle dans le sport anglais
1ères compétitions en 1834 (perches lourdes (10kg en bois) / perf : 3m/ apparitions des
climbers
(athlète grimpant le plus haut possible sur la perche, tel un grimpé de corde, avant de franchir la barre)
Evolution rapide du matériel = 1860 : bambou
1889 = interdiction de grimper sur la perche
1860-1960 : perches rigides (passage accroupi, en drapeau, puis sur le ventre)
1945 : perches métalliques
Après 1960 : perches flexibles en fibres de verre puis en carbone
Changement technique (utilisation de la flexion ,écart de bras plus grand, bras
gauche tendu
)
En parallèle évolution des aires de réception (sable, blocs mousse, tapis)
JO de 2000 : perche femmeSlide4Slide5Slide6
3
- ANALYSE
TECHNIQUE DES ETAPES DU
SAUT et PRINCIPES MECANIQUESSlide7Slide8Slide9Slide10
4 - LES CONDUITES TYPIQUES DE L’APPRENTISSAGE AU PERFECTIONNEMENT
Le débutant :
“ gêné par la perche, préoccupé par la zone du piqué, l’élève saute s’accroche ou se suspend à la perche”
Les appuis sur la perche sont inactifs
.
Course d’élan (CE)
: course irrégulière, foulées incomplètes, hésitantes.
Port de perche
: Perche portée sur l’épaule ou sur le côté, avec les épaules parallèles à l’axe de course.
Le présenté :
incomplet et tardif.
L’impulsion
: L’élève tâtonne pour être sur son pied d’appel et pour sauter du bon coté.
Saut
: L’élève ne pousse pas sa perche vers l’avant, il s’écarte de l’axe du déplacement.
Le débrouillé :
Il saute avec plus de levier…et s’accroche à la perche (surtout le bras inférieur)
.
I
l allonge sa dernière foulée, franchit l’élastique corps tendu à l’horizontale (bassin à l’horizontale). Il s’accroche et tire sur la perche pour terminer par un demi-tour sur le côté (incomplet et désaxé)Slide11
L’apprenti spécialiste : “ il saute, en guidant la perche vers l’avant avec son bras inférieur et s’accroche par moment. La CE est mieux organisée, il commence à dissocier jambe d’impulsion et jambe libre. Au moment d’impulser et grouper, l’appui inférieur bras gauche (contact/pousser) est brièvement actif. Il s’en suit une action d’accrochage (bras G) sur la perche qui réduit l’amplitude du groupé/chandelle. Le franchissement n’est pas complet et désaxé
.
Le spécialiste :
“ Il saute, en restant derrière la perche en appui sur la main inférieure.
L’élève
a un élan complet, organisé, rythmé sur les derniers appuis. L’attitude de course est maintenue jusqu’au présenté. Le contact bras inférieur/butoir est continu, la perche avance et fléchie. La fermeture (rétropulsion) des appuis sur la perche contribuent à un enchaînement « groupé/chandelle/ ½ tour » efficace
.
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pedagogie.ac-toulouse.fr
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