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La pression atmosphérique et l’origine des vents - PowerPoint Presentation

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La pression atmosphérique et l’origine des vents - PPT Presentation

2011 Formation en météorologie Références principales Malardel 2009 Fondamentaux de Météorologie ch 2 et 3 Ahrens 2009 Meteorology Today pp 193205 Le concept de la pression et température ID: 552758

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Presentation Transcript

Slide1

La pression atmosphérique et l’origine des vents

2011 Formation en météorologie

Références principales :

Malardel

2009,

Fondamentaux de Météorologie,

ch

2 et 3

Ahrens

2009,

Meteorology

Today

, pp. 193-205Slide2

Le concept de la pression et température

Niveau moléculaire :

force, par unité de surface,

qu’un gaz exerce contre une surface

en vertu des collisions aléatoires de ses moléculesCette force est la même dans toutes les directions puisque les trajectoires des molécules sont aléatoires : toute collision contre une surface donnée peut se faire dans toute les directions possiblesComme la pression, la température est reliée aux mouvements moléculaires, mais ici on parle de l’énergie de mouvement moyen des molécules sans regard aux collisions éventuelles contre une surface

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide3

Le concept de la pression

Si on augmente la vitesse des molécules en augmentant la température, on pourrait croire que la pression augmentera puisque les collisions seront plus violentes.

Oui en partie, mais

pas si on diminue la densité du gaz en question :Un gaz chaud mais peu dense peut donc exercer la même pression sur une surface que s’il était froid et denseDans le premier cas, on a des molécules en moins grand nombre mais

plus rapides

, dans le second cas des molécules moins rapides mais

plus nombreuses. Dans les deux cas, on a la même force moyenne due aux collisions, et donc la même pression.

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide4

La loi des gaz parfaits

SCA-2611 Introduction à la météorologie

La pression, la température et la densité

ou masse volumique d’un

gaz comme l’air au températures et pressions caractéristiques de notre atmosphère sont en tout temps reliées entre elles par la loi des gaz parfaits :

pression

Densité ou masse volumique

constante

spécifique de

l’air

température

En plus d’obéir à la loi des

gaz parfaits,

l’air de l’atmosphère terrestre subit une autre contrainte fondamentale :

la gravité

, qui attire l’air irrémédiablement vers le sol.Slide5

La présence de la gravité

SCA-2611 Introduction à la météorologie

Pourquoi alors l’atmosphère ne s’effondre-t-elle pas complètement au sol, à nos pieds ?

L’atmosphère ajuste localement sa pression

afin de soutenir son propre poidsL’air au bas d’une colonne subit le maximum de poids de l’air au-dessus de celui-ci et donc doit avoir le maximum de pression pour soutenir ce poidsL’air, disons, au milieu de la colonne n’a pas autant de poids à supporter contre la gravité (puisqu’il y a moins de masse au-dessus), et donc affichera une moins grande pressionDans les deux cas, il s’établit un équilibre entre la force de gravité qui pousse l’air vers le bas et la pression locale qui le pousse vers le haut :

l’

équilibre hydrostatique

C’est pourquoi la pression barométrique

à un niveau donné est définie comme étant égale au poids de la colonne d’air au-dessus de ce niveau

À un emplacement donné , la pression barométrique diminue

toujours

avec la hauteur, puisque le poids à soutenir est toujours plus faible en altitude que près du solSlide6

Variation de la pression barométrique avec la hauteur

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide7

Comment mesure-t-on la pression barométrique ?

L’instrument standard servant à mesurer la pression atmosphérique est le

baromètre à mercure.

L’unité SI de pression atmosphérique est le

pascal (Pa – force de 1 newton/m2)Sur les cartes météorologiques, on utilise l’hectopascal (hPa), ou 100 newtons/m2SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide8

Comment mesure-t-on la pression barométrique ?

Le poids de la colonne de mercure vers le bas égalise celui de la colonne d’air qui la force vers le haut. La hauteur de la colonne de mercure à l’équilibre est donc une mesure de la pression atmosphérique.

Une hauteur de mercure de 76 cm représente la

pression atmosphérique standard, qui équivaut à 1013,25 hPa. Si la pression atmosphérique augmente, celle-ci poussera davantage sur la surface de mercure contenu dans la cuvette, ce qui fera monter la hauteur de la colonne de mercure. L’inverse se produit lorsque la pression atmosphérique diminue.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide9

Il faut tout ramener au même niveau !

Cette hauteur standard est le niveau moyen de la mer.

La correction appliquée est de l’ordre de

10

hPa / 100 mètres de dénivellation (à température standard).Le résultat est une carte de la pression au niveau de la mer, et les lignes reliant les points ayant les mêmes valeurs de pression sont appelées des isobares.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide10

L’origine du vent

Le vent est le mouvement

macroscopique

de l’air dans une direction donnéeLe vent, une fois créé, peut subir plusieurs forces qui l’influencent en grandeur et directionMais l’origine du vent est unique :C’est la différence de pression entre deux parcelles d’air qui force l’air de la parcelle ayant la plus grande pression à se mouvoir spontanément vers la parcelle ayant la pression la moins grande.Cette différence de pression se nomme aussi gradient de pressionCette force génératrice du vent s’appelle : force du gradient de pression

L’air se déplace toujours (

au départ

) d’une région de haute pression vers une région de basse pressionC’est là encore la conséquence des mouvements aléatoires des molécules de l’air ! SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide11

Comment crée-t-on des gradients de pression ?

Nous nous attarderons à la création des vents

horizontaux

Les vents verticaux sont toujours très faibles car la gravité s’oppose toujours et annule presque complètement vers le bas le gradient vertical de pression vers le haut

Pour générer un vent horizontal, il faut créer un gradient de pression horizontalC’est dans ce contexte que l’on parle des régions de hautes et basses pression : différences de pression dans un même plan horizontalPuisque nous avons vu que la pression à un niveau donné est le poids de l’air au-dessus de ce niveau, il suffit, pour changer cette pression, de faire varier le poids (ou la masse) de l’air au-dessus de ce niveau.Nous verrons que la nature a un moyen fabuleux d’accomplir cette tâche : il suffit de faire varier la température de l’air !Ce concept peut être illustré par l’exemple qui suit : la circulation thermique

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide12

Pour illustrer le concept de circulation thermique, considérons une colonne d’air enfermée dans un cylindre imaginaire

Les points représentent des molécules individuelles

La densité est constante partout

Supposons, dans un premier temps, que l’air

ne que se dilater vers le hautSCA-2611 Introduction à la météorologieSlide13

La circulation thermique

En (a) : deux colonnes d’air de masse identique, donc même pression en surface

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide14

La circulation thermique

En (b) : on refroidit la colonne 1, on réchauffe la colonne 2.

La colonne 1 se contracte, la colonne 2 prend de l’expansion,

mais

la pression en surface n’a toujours pas changé !SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide15

La circulation thermique

En (c), la pression au niveau H de la colonne 2 est

supérieure

que celle au niveau L de la colonne 1… pourquoi ?Il y a plus d’air au-dessus de H qu’au dessus de L !La pression est donc plus grande à H qu’à L, c’est-à-dire un gradient horizontal de pression de L à H (direction dans laquelle la pression augmente)La différence de pression de L à H crée un vent de H à L puisque la pression en H est supérieure à la pression en LSCA-2611 Introduction à la météorologieSlide16

La circulation thermique

Ensuite:

La pression chute en surface dans la colonne 2, et augmente en surface dans la colonne 1, ce qui crée un vent en surface de la colonne 1 vers la colonne 2.

Une convergence dans le haut de la colonne 1 force un mouvement descendant dans celle-ci, et une divergence dans le haut de la colonne 2 force un mouvement ascendant dans celle-ci.

Résultat : une circulation en boucle dans le plan vertical entre les deux colonnesSCA-2611 Introduction à la météorologieHLSlide17

La circulation thermique, c’est donc :

Une combinaison de réchauffement et de refroidissement de l’air causant des variations horizontales de pression en altitude et au sol

Ces variations de pression forcent l’air à se déplacer des régions de haute pression vers celles de basse pression.

Ces vents horizontaux sont accompagnés d’ascendance au-dessus des basses pressions en surface et de subsidence au-dessus des hautes pressions en surface.

Les régions d’ascension sont presque toujours associées à des nuages/précipitations, et les régions subsidentes à des régions claires, sans nuages (beau temps).SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide18

En résumé…

Le vent provient des variations horizontales de la pression atmosphérique (ou barométrique) à un niveau donné

Ces variations de pression sont dues aux variations horizontales de température

Température et pression atmosphériques sont donc intimement reliées dans ce ballet aérien qu’est la circulation thermique

Un exemple réel de ce type de circulation est la brise de merSCA-2611 Introduction à la météorologieSlide19

La brise de mer/lac est un vent local dont l’échelle spatiale est de quelques dizaines de kilomètre.

En Basse-Côte-Nord, elle peut être ressentie jusqu'à une vingtaine de km au large et peut atteindre 50 km/h

.

La brise de mer/lacSCA-2611 Introduction à la météorologieJOURNUITSlide20

Terre (18 °C)

Mer

(18 °C)

Soient des conditions isothermes et isobares à la surface, tôt un matin, par vent calme.

Vue en coupe verticale

Terre (27 °C)

Mer

(18 °C)

Le soleil réchauffe la terre

925

hPa

950 hPa

975 hPa

Quelques heures plus tard la température de la terre augmente tandis que celle de l'eau demeure à peu près constante grâce à la grande capacité calorifique de l'eau.

Terre (27 °C)

Mer (18 °C)

La terre réchauffe l'air au-dessus

925

hPa

950 hPa

975 hPa

L'air n'est pas réchauffé directement par le soleil mais plutôt indirectement par la surface. Donc au-dessus de la terre l'air est plus chaud qu'au-dessus de l'eau. Ce réchauffement peut affecter typiquement une couche de 1000 à 1500 m d'épaisseur.

Vue en coupe verticale

La brise de mer/lac

SCA-2611 Introduction à la météorologie

Vue en

coupe verticaleSlide21

Terre

(27 °C)

Mer

(18 °C)

Le réchauffement fait dilater l'air sur la terre

925

hPa

950 hPa

975 hPa

Puisque l'air chaud est moins dense, l'air au-dessus de la terre se dilate à partir du sol. Cela provoque une augmentation de la distance entre les surfaces de pression. Au-dessus de l'eau où l'air est très peu réchauffé la distance entre les surfaces de pression reste la même.

La brise de mer/lac

Terre (27 °C)

Mer (18 °C)

Un flux s'établit en altitude de la terre vers la mer

925

hPa

950 hPa

975 hPa

H

D

Une zone de haute pression se développe en altitude au-dessus de la terre et par conséquent, une dépression au-dessus de la mer en ressort. Un flux d'air s'établit en altitude de la terre vers la mer à cause de ce gradient de pression.

Vue en coupe verticale

Vue en coupe verticale

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide22

Terre (27 °C)

Mer (18 °C)

La pression au sol diminue en réponse à l'écoulement en altitude

925

hPa

950 hPa

975 hPa

H

D

H

D

En réponse à l'écoulement en altitude, une dépression se développe en surface sur la terre et une haute pression sur la mer.

La brise de mer/lac

Terre (27 °C)

Mer (18 °C)

Un déplacement d'air s'établit de la mer vers la terre en réponse à la différence de pression

925

hPa

950 hPa

975 hPa

H

D

H

D

Un déplacement d'air plus frais s'établit de la mer vers la terre à cause de ce gradient de pression.

Vue en coupe verticale

Vue en coupe verticale

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide23

Terre (27 °C)

Mer (18 °C)

L'air additionné à la surface se soulève pour remplacer l'air enlevé en altitude

925

hPa

950 hPa

975 hPa

H

D

H

D

L'air additionné en altitude descend pour remplacer l'air enlevé à la surface

Des mouvements verticaux s'établissent aussi en réponse aux écoulements horizontaux de l'air ce qui complète la circulation de la brise de mer.

La brise de mer/lac

Vue en coupe verticale

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide24

Ch8-24

Résumé

La pression atmosphérique est la pression exercée par la masse d’air au dessus du point de mesure

.

À un endroit donné, la pression atmosphérique change parce que la masse de la colonne d’air de surface = 1 m2 , au dessus de l’endroit, a changé.Le réchauffement ou le refroidissement d’une colonne d’air au dessus d’un endroit donné peut établir des variations de pression sur une surface de hauteur constante au dessus

de la surface

.Slide25

Ch8-25

Résumé

Les

différences de pression sur un plan horizontale créent le mouvement horizontal de l’air :

le vent.La force du gradient de pression est due aux variations spatiales de pression : Dirigée perpendiculairement aux isobares et toujours dirigée des hautes vers les basses pressions.Proportionnelle au gradient de pression (variation de la pression entre deux points divisée par la distance entre ces deux points). Est la force qui cause le mouvement de l’air. Slide26

Cartes météorologiques

Cartes de surface (pression au niveau de la mer)

Cartes d’altitude (cartes isobariques)

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide27

Les cartes de la pression au niveau

moyen de

la mer (PNM)

Les stations météorologiques rapportent à chaque heure la pression au niveau de la mer.

Lorsque ces valeurs sont pointées sur une carte, il est nécessaire de tracer des lignes reliant les mêmes valeurs, afin de mieux visualiser la structure spatiale de la pression Ces lignes sont des isobares.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide28

Une carte de PNM

Les « L » : centre de basses pressions – région où on observe un minimum relatif de pression

Les « H » : centres de hautes pressions

-

région où on observe un maximum relatif de la pressionIl y a plus de masse d’air (plus de poids) au-dessus des « H » qu’au-dessus des « L ».SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide29

Les cartes de la pression en altitude (cartes isobariques)

En altitude, les cartes représentent la pression d’une manière non-intuitive, en affichant la

hauteur

à laquelle une pression donnée est présente, et non la pression pour une hauteur donnée.Cela donne des cartes à pression constante ou cartes isobariquesSCA-2611 Introduction à la météorologieSlide30

À gauche : une carte de PNM en surface pour situation météo hypothétique

À droite:

la même situation en altitude telle qu’illustrée par une carte isobarique de 500

hPa

.SCA-2611 Introduction à la météorologieRIDGE = CRÊTETROUGH = CREUXSlide31

Discussion

SCA-2611 Introduction à la météorologie

«La pression atmosphérique normale, établie à 101,3

kPa

, est une estimation de la pression moyenne des masses d’air, mesurée au niveau de la mer des régions tempérées. Une pression inférieure à 101,3 kPa est considérée comme une basse pression, alors qu’une pression supérieure à 101,3 kPa est considérée comme une haute pression.» Synergie, page 256.Pression en hPaCarte de pression au niveau moyen de la merSlide32

Discussion

SCA-2611 Introduction à la météorologie

Synergie : section 2.4.1, page 256, paragraphe 2

«La pression atmosphérique varie également en fonction de la température de l’air. En effet, l’air chaud est moins dense que l’air froid. Ainsi une couche d’air chaud de même épaisseur qu’une couche d’air froid exercera une pression moindre.»

Voir aussi figure 34, Synergie, page 256Slide33

Discussion

SCA-2611 Introduction à la météorologie

Observatoire : page 224

Texte correct

Attention à la légende de la figure 7.3 : «Plus y a des particules d’air, plus la pression est grande, car plus il y a des collisions entre les particules.»densitémasse

Nombre de moles

Masse molaire de l’air

Volume

Température

Constante spécifique de l’air

pressionSlide34

Cartes à pression constante

Sur la figure, les points bleus sont des molécules d’air, et on suppose que toute l’atmosphère est contenue dans la colonne et que la densité de l’air est partout la même.

Si on monte jusqu’à la moitié de la colonne, on peut dessiner une

surface

représentant tous les points à cette altitude (5600 m). C’est une surface à hauteur constante.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide35

Cartes à pression constante

C’est aussi une surface où le nombre de molécules en-dessous est égal au nombre de molécules au-dessus; la pression à cette hauteur est donc de 500

hPa

(1000

hPa/2). C’est une surface à pression constante de 500 hPa, qui coïncide avec une surface à hauteur constante de 5600 m.Le long de cette surface, il n’y a bien sûr aucun gradient de pression, et une carte de pression pour cette altitude n’afficherait aucune isobare.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide36

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide37

Cartes à pression constante

Sur la figure suivante, nous avons une situation où l’air est plus chaud dans une portion d’une colonne d’air (disons au sud), et plus froid dans une autre portion (disons au nord). La colonne y abrite donc un gradient horizontal de température.

Nous supposons que la pression en surface est partout la même, et donc qu’il y a le même nombre total de molécules (donc le même poids total) dans chaque portion de la colonne.

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide38

Cartes à pression constante

La surface en gris au sommet de la colonne représente une surface à pression constante, où la pression en tout point de la surface est de 500

hPa

.

Puisque l’air est plus chaud dans le sud de la colonne, la hauteur à laquelle on rencontre un pression de 500 hPa est plus haute que dans le nord de la colonne, où l’air est plus froid. SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide39

Cartes à pression constante

De façon équivalente, la pression à 5600 m est plus haute dans la région chaude que dans la région froide, puisque la pression varie peu avec la hauteur dans le première, alors qu’elle varie plus rapidement avec la hauteur dans la seconde.

Une région de

hautes hauteurs

isobariques est aussi une région de hautes pressions à une altitude donnéeUne régions de basses hauteurs isobariques est aussi une région de basses pressions à une altitude donnée.

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide40

SCA-2611 Introduction à la météorologie

La pression varie

peu avec l’altitude

La pression varie

beaucoup avec l’altitudeSlide41

Hautes hauteurs isobariques

Basses hauteurs isobariques

Carte d’hauteurs de la pression de 500

hPa

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide42

Sur une carte d’altitude à pression constante, un creux barométrique est

toujours associé à de l’air froid, alors qu’une crête barométrique est

toujours associée à de l’air chaud

SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide43

À gauche : une carte de PNM en surface pour situation météo hypothétique

À droite:

la même situation en altitude telle qu’illustrée par une carte isobarique de 500

hPa

.SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide44

La pression atmosphérique : une vraie brute !

Dans cette démonstration, l’air contenu dans le baril de 200 litres est pompé jusqu’à ce que la pression à l’intérieur ne soit que de 40% de celle à l’extérieur

Avec une telle différence de pression, une force de 60 000 N/m

2

(poids de 6 tonnes sur chaque mètre carré !) écrase littéralement le baril !SCA-2611 Introduction à la météorologieSlide45

Cartes météorologiques en altitude

SCA-2611 Introduction à la météorologie