Introduction à la Psychologie LEmotion et la Motivation Pr BARAKAT Session dété 1 Plan D éfinitions Caractéristiques générales des émotions Principales théories des émotions ID: 511957
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CoursIntroduction à la PsychologieL’Emotion et la MotivationPr BARAKATSession d’été
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PlanDéfinitionsCaractéristiques générales des émotionsPrincipales théories des émotionsBases neurobiologiques des émotions
La Motivation2Slide3
Définition d’une émotionEnsemble des changements physiologiques et de leur perception consciente agréable ou désagréable déclenché par des stimuli internes ou externes provoquant des modifications comportementales3Slide4
4Slide5
Composante viscéraleRéactions physiologiques automatiquesPréparation au combat ou au retraitActivation du système nerveux autonome orthosympathique5Slide6
Composante viscérale 2: Activation du système orthosympathiqueAccélération des fréquences cardiaque et respiratoireMydriaseÉlévation de la pression artérielleDiminution de la digestionAugmentation de la sudation6Slide7
Composante comportementale (publique)Animation de l’ensemble de la musculature corporelle avec surtout l’expression facialeComportement spécifique pour chaque émotion, qui devient perceptible et analysable par autruiL’expression faciale module l’activation viscéraleÉmotion = système de communication non verbale
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Modifications cognitives: Composante subjective (privée)L’épreuve émotionnelle associe 2 dimensions:ressenti somatique = réactions viscéralesressenti psychique difficile à appréhender = aspect cognitifVécu agréable/désagréable8Slide9
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES DES ÉMOTIONS9Slide10
Conception scientifique des émotions (Darwin, 1872)Utilité pour la survieAdaptation à l’environnementCommunication avec les pairs Caractère innéCaractère universel10Slide11
Les Emotions primairesP. Ekman et C. Izard : Six émotions de base: Colère, peur, surprise, dégout, joie, tristesse 11Slide12
Les Emotions primaires (Suite)Innées, la plupart se retrouvent chez le très jeune enfantUniverselles, décodables quelque soit la cultureVariations interculturelles liées à:L’intensité d’expressionLa valeur donnée par le groupe social12Slide13
Les Emotions secondairesCombinaisons illimitées d’émotions primairesApprentissage durant l’enfanceNon universellesExemplescolère + dégoût = mépris
tristesse + surprise = déception13Slide14
THÉORIES DES ÉMOTIONS14Slide15
Principales théories des émotionsThéorie périphérique de James-Lange (1884)Théorie centrale de Cannon-Bard (1927)Théories cognitives (Schachter, Lazarus, Zajonc, 1960-1990)
Théorie du constructivisme social d’Averill
-Lutz (1988)15Slide16
Théorie périphérique de James-LangestimulusRéponse viscérale différenciéeEmotion
Evaluation
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Théorie périphérique de James-Lange (Suite)Exemple : vous marchez dans une rue sombre seul(e) le soirstimulus : vous entendez des bruits de pas derrière vous
vous commencez à trembler, votre cœur bat plus vite
vous remarquez ces modifications corporelles et les évaluez:
mon corps se prépare à faire face à une situation de peur
Et enfin vous ressentez la peur
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Théorie périphérique de James-Lange (Suite)Dans ce cadre, les modifications viscérales constituent l’émotion en elle-même
Limites:
L
es modifications viscérales sont trop lentes et pas assez différenciéesInjection d’adrénaline activation orthosympathique mais pas d’émotion
E
motions chez les traumatisés médullaires
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Théorie centrale de Cannon-BardRéponse viscérale non spécifique
stimulus
Intégration cérébrale au niveau du thalamus
simultanément
Ressenti émotionnel
(cortex cérébral)
19Slide20
Théorie centrale de Cannon-Bard (Suite)vous commencez à trembler votre cœur bat plus vite
Exemple : vous marchez dans une rue sombre seul(e) le soir
stimulus : vous entendez des bruits de pas derrière vous
simultanément
Ressenti de peur
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Théorie centrale de Cannon-Bard (Suite)La réponse viscérale stéréotypée traduit le but systématique de l’émotion: la préparation à l’actionRéaction viscérale commune avec les phénomènes de stressLa différenciation entre émotions doit donc se faire au niveau cognitif21Slide22
Théories cognitivesCognition: ensemble des activités intellectuelles et des mécanismes qui se rapportent à la connaissance que le sujet a de lui-même et du mondeProcédés cognitifs: ensemble des opérations mentales permettant d’acquérir ces connaissances22Slide23
Théorie de SchachterThéorie bifactorielle des émotions: les émotions sont formées
de deux
éléments:
Réaction
viscérale
Étiquette
cognitive
L’expérience
émotionnelle
nécessite
une
interprétation
consciente
de la
réaction
viscérale
Expérience
de
Shachter
& Singer: stimulus constant
émotion différente
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Théorie de Schachter (Suite)StimulusRéponse viscérale indifférenciéeEvaluation Consciente : étiquette cognitive
Emotion différenciée
Contexte actuel
Expériences, connaissances
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Théorie de Schachter (Suite)Exemple : vous marchez dans une rue sombre seul(e) le soirstimulus : vous entendez des bruits de pas derrière vous
vous ressentez la peur
vous commencez à trembler
votre cœur bat plus vite
Dès que vous ressentez ces modifications corporelles vous
vous rendez compte qu’elles sont liées au fait que vous marchez
seul(e
) le soir et que ce comportement est dangereux
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Théories cognitivesLimite principale à la théorie de Schachter: prise de conscience non nécessaire pour le ressenti émotionnel différencié:Théorie de LazarusThéorie de
Zajonc
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Théorie de LazarusPropose une évaluation cognitive en deux temps:(1) le stimulus est-il une menace?(2) l’organisme va-t-il pouvoir s’adapter au stimulus?
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Théorie de Lazarus (Suite)stimulusÉvaluation cognitivesimultanément
Réponse viscérale
Ressenti émotionnel
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Théorie de Lazarus (Suite)Vous pensez qu’il s’agit peut être d’un voleur/agresseur simultanément
Ressenti de peur
Exemple : vous marchez dans une rue sombre seul(e) le soir
stimulus : vous entendez des bruits de pas derrière vous
vous commencez à trembler
votre cœur bat plus vite
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Théorie de ZajoncPropose que le ressenti émotionnel précède l’évaluation cognitive:Précède la cognition d’un point de vue phylogénétiqueDifficile
à verbaliserNon modulable par la cognition
C
orrespond en fait à une évaluation cognitive à deux niveaux de complexité
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Théorie de Zajonc (Suite)stimulusÉvaluation cognitive complexe
Réponse comportementale
Ressenti émotionnel
(réponse viscérale + évaluation cognitive rapide non consciente)
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Théorie du constructivisme social (Averill-Lutz)Émotion = outil de régulation sociale avec un rôle
transitoire
Propose un nombre
indéfini
d’émotions
,
acquises
culturellement
sans
origine
biologique
Limite
principale
=
différences
interindividuelles
majeures
au
sein
d’une
culture
donnée
Gestion
des
émotions
communes
Créativité
émotionnelle
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SynthèseNombre limité d’émotions de base se combinant pour une palette illimitéeRéactions viscérales interagissant avec une double évaluation cognitive pour moduler la réponse comportementaleÉvaluation cognitive et réponse comportementale modulées par l’environnementAppui
neurobiologique à cette approche33Slide34
Bases neurologiques des émotions1878: Broca décrit le lobe limbiqueEnsemble d’aires corticales formant un anneau autour du tronc cérébral1930: Papez
relations bidirectionnelles entre le cortex (ressenti émotionnel) et l’hypothalamus (centre de contrôle viscéral)
Mc Lean décrit le système limbique dans son ensemble (1952) puis la notion de « cerveau triple » (1970)
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Le cerveau triple de Mac LeanCerveau néo-mammalienNéo-cortexfonctions cognitives (raisonnement) Cerveau reptilien:
tronc cérébral, cervelet, survie, fonctions vitales
Cerveau paléo-mammalien
Système limbique: émotions, mémoire
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Le Système limbiqueComposé du lobe limbique décrit par Broca et de 4 structures sous-corticales36Slide37
Le système limbique (Suite)le Cortex limbiqueFrontalCaudalRôle essentiel de l’hippocampe dans la mémorisation
Gyrus
cingulaire
Aire sous calleuse
Isthme
Hippocampe (T5)
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Le système limbique (Suite)Structures sous-corticales38Slide39
Le Système limbique (Suite)Structures sous-corticalesThalamusrelais sensorielAmygdaleattribution rapide d’une valence émotionnelle à un stimulusHypothalamusrégulation des fonctions viscéralesGanglions de la baserelais moteur
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Le système limbique (Suite)Rôle de l’amygdaleAttribution de la valence émotionnelle d’un stimulusafférences multiples du thalamus, du cortex sensoriel, de l’hippocampeDéclenche la réponse émotionnelle
efférences vers le tronc cérébral, l’hypothalamus, le cortex moteur
Résultats expérimentaux chez l’Homme
syndrome de
Klüver
et
Bucy
stimulation électrique
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Synthèse du rôle du système limbiqueStimulus émotionnelCortex sensorielHPTTC (PAG)
cortex
Amygdale latéral
Réponse viscérale
(SNV, SNE)
Réponse
comportementale
Ressenti
émotionnel
thalamus
Amygdale central
Valence émotionnelle
Réponse émotionnelle
Voie haute
lente précise
Voie basse
rapide grossière
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Rôle du cortex orbito-frontalLe cas Phineas GAGEContremaître sur un chantierDécrit comme une personne agréable et consciencieuseAccident
avec une barre à mine en 1848Survit à sa blessure et à l’infection
Changement brutal de personnalité
Grossier
i
rritable
, lunatique
incapable de terminer une tâche
intelligence
conservée
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Rôle du cortex orbito-frontal:le cas Phineas GAGE (Suite)Reconstitution des lésions cérébrales par
Damasio (1994) à partir
du crâne de GAGE et de la
barre de
fer
conservés
à Harvard
Rôle
du cortex
orbito
-frontal
dans
la
régulation
émotionnelle
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SYNTHÈSESystème limbiqueintégration d’informations sensorielles externes et internes et coordination d’une réponse appropriée tenant compte des expériences passéesRétro-contrôle par le cortex orbito-frontal en fonction de données individuelles et culturelles, elles-mêmes renforcées ou atténuées par les émotions
Émotions symbolisent l’impossibilité de séparer corps et esprit44Slide45
Fin de la première partie45Slide46
Deuxième PartieLa Motivation46Slide47
DéfinitionProcessus par lequel on active, maintient et dirige un comportement en fonction d’un objectif devant procurer une satisfactionL’ensemble des déterminants actuels du comportement qui influencent l’apparition, la force (l’intensité) et la direction du comportement47Slide48
PrécisionLa motivation correspond aux déterminants internes des conduites observables et non aux stimuli extérieursLa motivation correspond aux déterminants actuels des conduites observables (ici et maintenant)La motivation influencent l’apparition du comportement ; ils déclenchent certains comportements (observables).
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Autres Précisions La motivation INFLUENCE LA FORCE OU L’INTENSITÉ (vigueur) DU COMPORTEMENT et cet effet se manifeste entre autres par la PERSISTANCE (la somme de temps consacrée à une activité, ou à la résistance à passer de l’activité en cours à une autre activité)La motivation influence la DIRECTION du comportement dans deux directions majeures : l’approche d’un objet désirable ou l’évitement d’un objet désagréable La motivation ne peut être conçue sans objet
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BESOIN Condition particulière à l’intérieur de l’organisme qui se trouve à la source d’une motivation physiologique.50Slide51
Motivations psychologiquesMotivations basées sur un besoin de l’organisme, souvent innées, qui permettent à l’individu d’assurer sa survie biologique.Caractéristiques Leur source est toujours physiologique, elles émergent d’un besoin. Cette motivation a pour but de faire disparaître ou de réduire l’état de besoin.Elles sont innées.Elles doivent être satisfaites pour assurer la survie de l’individu.
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Motivations PhysiologiquesCaractéristiquesIl en existe un nombre limité:faim, soif, sexualité, régulation de la température, évitement de la douleur, régulation métabolique (oxygène et élimination des toxines), sommeil et repos, besoin de stimulation.52Slide53
Motivations PsychologiquesMotivations issues de l’apprentissage, intégrées à la personnalité de l’individu, qui lui permettent de mieux s’adapter à sa propre existence et à ses relations interpersonnelles.53Slide54
Motivations PsychologiquesCaractéristiquesLeur source est psychologique.Elles apparaissent au cours du développement: elles sont issues de l’expérience et s’intègrent à la personnalité.54Slide55
Motivations psychologiquesCaractéristiques Leur fonction adaptative se trouve plus dans l’épanouissement de l’individu que dans le maintien de l’équilibre biologique.CaractéristiquesCes motivations sont plus complexes:- Elles sont moins stéréotypées, plus variables d’un individu à l’autre.
- Il est souvent difficile de bien cerner leur origine- Leur nombre n’est pas délimité clairement
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Motivations psychologiquesExemples La curiosité (explorer et mieux connaître l’environnement) ; approbation sociale ; motivation à l’accomplissement et/ou à la réalisation de soi ; motivation au jeu ; 56Slide57
Motivation de déficienceMotivation fondée sur un besoin de l’organisme, qu’elle vise à combler, ou sur un besoin psychologique destiné à assurer la survie ou la sécurité de l’individu.Elles servent à assurer un bien-être de base.57Slide58
Motivation d’abondanceMotivation destinée à la recherche de satisfactions ou de gratifications qui ne sont pas nécessaires à la survie biologique, mais qui permettent d’accéder à un mieux-être physique ou psychologiqueCaractéristiquesElles représentent essentiellement des motivations d’approche (recherche d’états internes agréables)Elles correspondent à des motivations psychologiques; elles sont issues de l’apprentissageElles sont propres à l’être humain
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Pour qu’apparaisse une motivation d’abondance, il faut que la motivation de déficience correspondante soit satisfaite.Il faut que le bien-être soit assuré pour qu’une personne cherche à accroître ses possibilités de gratification.Exemple: Faim et la gastronomie.59Slide60
BESOINMOTIVATION DE DÉFICIENCE
MOTIVATION D’ABONDANCE
Besoins physiologiques
(faim, soif, etc.)
Éviter l’inconfort, les lésions organiques, éventuellement la mort.
(En cas de famine, les gens mangent ce qui leur tombe sous la main.)
Rechercher des sensations et des gratifications nouvelles.
(Gastronomie française, caviar et champagne.)
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BESOINMOTIVATION DE DÉFICIENCE
MOTIVATION D’ABONDANCE
Besoins touchant les relations avec l’environnement physique.
Éviter la peur. Motivation à obtenir la sécurité, éviter les dangers, les situations menaçantes.
(Un abri en temps de guerre.)
Rechercher de nouvelles possibilités de stimulation.
Rechercher des situations agréables et pouvoir influencer l’environnement.
(Décorer sa maison ou son nouvel appartement.)
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BESOINMOTIVATION DE DÉFICIENCE
MOTIVATION D’ABONDANCE
Motivations sociales
Rechercher l’affection, l’approbation, l’acceptation par les autres. Éviter le rejet. Obtenir du pouvoir.
(Suite à un déménagement, un enfant cherche à se faire de nouveaux amis)
Chercher à être utile, indépendant, autonome. Rechercher une identité sociale positive.
(Faire du bénévolat pour une cause qui nous tient à cœur.)
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BESOIN
MOTIVATION DE DÉFICIENCE
MOTIVATION D’ABONDANCE
Motivation personnelle
Chercher à éviter l’infériorité, la honte, l’embarras, la culpabilité, le mépris de soi.
Rechercher l’accomplissement, l’épanouissement de ses potentiels, la réalisation de soi. Rechercher une signification à son existence.
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INCITATEURStimulus extérieur qui déclenche une motivation ou qui permet à un besoin de déclencher une motivation.64Slide65
Besoin d’accomplissementBesoin de réussir, de faire mieux que les autres, d’accomplir avec brio des tâches posant un défi65Slide66
Motivation intrinsèqueDésir de s’adonner à une activité pour le seul plaisir de la choseLa motivation est dérivée de la satisfaction inhérente au comportement en question66Slide67
Motivation extrinsèqueDésir de s’adonner à une activité en raison de récompenses externes ou afin d’éviter une punitionLa motivation n’est pas inhérente au comportement en question67Slide68
Théorie des incitateursThéorie selon laquelle la motivation résulte de stimuli ambiants qui «attirent» l’organisme dans certaines directions.68Slide69
Merci pour Votre Attention69