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La révolution des données peut-elle améliorer la sécurité alimentaire ? La réponse - PowerPoint Presentation

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La révolution des données peut-elle améliorer la sécurité alimentaire ? La réponse - PPT Presentation

Maximo Torero mtorerocgiarorg Institut international de recherche sur les politiques alimentaires Note dinformation politique de Bruxelles n40 Données  la prochaine révolution des pays ACP ID: 742499

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Presentation Transcript

Slide1

La révolution des données peut-elle améliorer la sécurité alimentaire ? La réponse des technologies TIC

Maximo Torerom.torero@cgiar.orgInstitut international de recherche sur les politiques alimentairesNote d'information politique de Bruxelles n°40Données : la prochaine révolution des pays ACPSlide2

Page 2Exemple 1La volatilité excessiveSlide3

Périodes de volatilité excessive

Remarque : Cette figure montre les résultats d'un modèle de l'évolution dynamique des rendements quotidiens, d'après des données historiques remontant à 1954 (connu sous le nom de modèle non-paramétrique des quantiles extrêmes (NEXQ) Ce modèle est ensuite associé à une théorie des valeurs extrêmes pour estimer les quantiles de haut niveau de la série de rendements, ce qui permet de déterminer si un rendement effectif (c'est-à-dire, un rendement réel sur le marché futur) est extrêmement élevé ou non, et de le classer en conséquence.  Une période caractérisée par une extrême variation des prix (volatilité) est une période où l'on observe de nombreux rendements positifs extrêmes. On définit un rendement positif extrême comme un rendement qui dépasse un certain seuil prédéfini. Celui-ci est compris comme un quantile conditionnel de haut niveau (95 %), c'est-à-dire une valeur de rendement dépassée avec une faible probabilité : 5 %. La présence d'un ou deux rendements

de ce type ne témoigne pas forcément d'une période de volatilité excessive. Celles-ci sont identifiées à l'aide d'un test statistique appliqué au nombre d'occurrences de la valeur extrême sur une fenêtre de 60 jours consécutifs.Source : Martins-Filho, Torero et Yao 2010. Pour plus de détails, voir http://www.foodsecurityportal.org/soft-wheat-price-volatility-alert-mechanism.

2014

Veuillez noter qu'en 2014, les jours de volatilité excessive se concentrent au mois de mars.Slide4

Page 4Exemple 2

L'indice mondial de la faimSlide5

Page 5Slide6

Page 6Exemple 3Les services bancaires en ligneSlide7

Page 7Slide8

Page 8ConnectivitéContenu

CapacitéSlide9

Page

9Abonnement à un téléphone mobile et populationSource : Les informations sur les abonnements à un téléphone mobile proviennent de l'Union internationale des télécommunications (UIT) ; celles sur les catégories par pays sont issues de la Banque mondiale. Slide10

Page

10Abonnements à un téléphone mobile pour 100 habitants dans les pays en voie de développement, par région** AEP = Asie de l'Est et Pacifique ; EAC = Europe et Asie centrale ; ALC = Amérique latine et Caraïbes ; MOAN = Moyen-Orient et Afrique du Nord ; AS = Asie du Sud ; et ASS = Afrique sub-saharienne. Les pays à revenu élevé (membres de l'OCDE ou non) sont exclus de l'échantillon. Source : Les informations sur les abonnements à un téléphone mobile proviennent de l'Union internationale des télécommunications (UIT) ; celles sur les catégories par pays son issues de la Banque mondiale. Source : Nakasone, Torero et Minten (2013). « Le pouvoir de l'information : la révolution des TIC dans la vulgarisation agricole. » IFPRI.Slide11

Page

11 % urbain % rural % tousBolivie (2007) a/.77,6 %18,7 %57,0 %Brésil (2009) a/.83,3 %53,2 %

78,8 %Colombie (2010) a/.

90,2 %71,7 %86,0 %

Équateur (2010)

a/.

82,9 %

59,7 %

75,5 %

Mexique (2007)

a/.

66,6 %

45,0 %

55,2 %

Pérou (2010)

a/.

82,2 %

47,1 %

70,4 %

Inde (2011)

b/.

76,0 %

51,2 %

59,2 %

Bangladesh (2010)

c/.

82,7 %

56,8 %

63,7 %

Tanzanie (2010)

d/.

77,5 %

34,2 %

45,4 %

Kenya (2010)

e/.

71,9 %55,0 %59,8 %Afrique du Sud (2008/09) f/.87,5 %82,0 %85,7 %Libéria (2009) g/.69,0 %20,7 %43,2 %Malawi (2010) h/.72,7 %32,3 %39,0 %Ghana (2010) i/. 63,4 %29,6 %47,7 %Nigéria (2009) j/.88,3 %60,3 %70,6 %Égypte (2008) k/.54,1 %27,8 %40,5 %Éthiopie (2011) l/.65,2 %12,8 %24,7 %Ouganda (2011) m/.86,8 %53,1 %59,4 %Sénégal (2011) n/.95,4 %81,7 %88,4 %Mozambique (2011) o/.66,8 %20,0 %34,1 %Népal (2011) p/.91,6 %71,9 %74,7 %Zimbabwe (2011) q/.90,1 %48,0 %62,2 %Rwanda (2010) r/.71,8 %35,1 %40,3 %Cambodge (2010) s/.90,1 %56,2 %61,9 %Chine (2010) t/.76,3 %60,7 %67,9 %

Pourcentage de ménages en possession d'un téléphone mobile, selon la région de résidence

Source : Nakasone, Torero et Minten (2013).

« Le pouvoir de l'information : la révolution des TIC dans le développement agricole. » IFPRI.Slide12

Comparación Internacional de los costos de una paquete básico de telefonía móvil (prepago) en 2009 US $ PPP

Source : Hernan Galperin, Broadband Prices in Latin America and the Caribbean, document de travail n°15 (Buenos Aires, Argentine : Universidad de San Andrés, 2013). Remarques : PPP = parité de pouvoir d'achat Les prix comprennent les taxes. Les frais inhérents à l'équipement et à la connexion ne sont pas compris. L'offre de base comprend 30 appels sortants et 33 SMS par mois. On prend pour référence la structure d'appels suivante : local vers téléphones fixes (15 %), national (7 %), mobile même opérateur (48 %), mobile autre opérateur (22 %), et répondeur (8 %). Les estimations prennent pour référence la répartition suivante : 48 % des appels ont lieu en heures de pointe, 25 % en heures creuses et 27 % le week-end. On prend pour référence la durée d'appels suivante (en minutes) : 1,5 pour les appels locaux et nationaux, 1,6 pour les mobiles avec le même opérateur, 1,4 pour les mobiles vers un autre opérateur, et 0,8 pour le répondeur. Les tarifs sont au prorata des parts de marché de chaque opérateur. Slide13

Revenu disponible pour les télécommunications au Brésil (5 % du revenu) par décile de revenu

Source: H. Galperin, Tarifas y Brecha de Asequibilidad de los Servicios de Telefonía Móvil en América Latina y el Caribe (Lima, Peru: Diálogo Regional sobre Sociedad de la Información, 2009), 22. Remarque : R$ = réal brésilien. Slide14

Ratio des abonnements haut débit par rapport à la population

Page 14Source : Nakasone, Torero et Minten (2013). « Le pouvoir de l'information : la révolution des TIC dans le développement agricole. » IFPRI.Slide15

Page 15Slide16

Page 16ConnectivitéContenu

CapacitéSlide17

Impact des TIC sur l'agricultureServices de vulgarisationInformations sur le marché

Environnement politique, lois et réglementationsRessources naturelles et géographiePage 17Slide18

Dispositions institutionnelles pour un système simple d'informations tarifairesPage 18

Source : Hernanini (2007), Banque mondialeSlide19

Flux d'informatons et accords institutionnels sur les marchés virtuelsPage 19

Source : Hernanini (2007), Banque mondialeSlide20

Page 20Les TIC sont-elles adaptées aux pays à faible revenu, et sont-elles efficaces ?

L'information fait partie intégrante des prises de décision sur les moyens de subsistance des ménages. Avantages potentiels pour les ménages ruraux :économies de temps et d'argentdavantage d'informations qualitatives, menant à de meilleures décisions et une diminution des coûts de transaction (Stigler, 1961 ; Stiglitz, 1985 et 2002) augmentation de l'efficacité, de la productivité et de la diversité (Leff, 1984 ; Tschang et al., 2002 ; Andrew et al., 2003). diminution du coût des intrants, augmentation du coût de la production et davantage d'informations sur les nouvelles technologies (Gotland, et al, 2004) portée accrue sur le marchéTravaux précédents essayant d'évaluer le surplus sur le versant consommateur : Saunder et al. 1983, Bresnahan, 1986, Saunders, Warford et Wellenius 1994, etc.Slide21

Résultats au niveau microSlide22

Résultats au niveau microSlide23

Les TIC peuvent également jouer un rôle dans l'atténuation des trois contraintes qui pèsent traditionnellement sur les services de vulgarisation :Premièrement, les infrastructures inadaptées augmentent le coût des visites de vulgarisation ;

Deuxièmement, les informations et les retours d'expérience doivent être suivis ;Enfin, la vulgarisation traditionnelle est en proie à des problèmes institutionnels et à des problèmes liés à la relation donneur d’ordre-agent. Aker (2011) avance également que les TIC permettent aux exploitants de mieux accéder aux informations privées de leur propres réseaux sociaux. Page 23Résultats par rapport à la vulgarisationSlide24

Fafchamps et Minten (2012) se penchent sur les répercussions de l'envoi des SMS donnant des conseils sur les récoltes (offerts pour une récolte choisie par le producteur) et des prévisions métérologiques locales. Ils ne constatent aucun effet des informations sur ces résultats. Cole et Fernando (2012) mènent une évaluation d'impact du programme Avaaj Otalo (AO) chez les producteurs de coton à Gujarat, Inde. Selon eux, les ménages ayant bénéficié de l'AO

abandonnent les pesticides dangereux au profit de produits plus efficaces. Les résultats laissent également penser que les bénéficiaires auraient plus de chances de cultiver du cumin, récolte à forte valeur ajoutée. Fu et Akter (2012) enquêtent sur l'impact d'un programme appelé « Initiative technologique d'aide à la vulgarisation des connaissances » (KHETI) dans le Madhya Pradesh (Inde). Les membres du groupe KHETI sont désormais mieux renseignés sur les services de vulgarisation en comparaison aux membres d'un groupe témoin. Page 24Résultats par rapport à la vulgarisationSlide25

Page 25ConnectivitéContenu

CapacitéSlide26

Les enfants et les TIC au service

de la vulgarisationVulgarisation agricole traditionnelle : coûteuse, zones isolées, responsabilisation des vulgarisateurs agricoles.Les TIC peuvent résoudre bon nombre de ces obstacles.Problème : La population adulte novice en informatique dans les zones rurales.

Vulgarisation agricoleParentsEnfantsSlide27

Les enfants et les TIC au service

de la vulgarisation : conceptionLycéens des hauts plateaux dans le nord du Pérou Ils ont identifié les principaux problèmes que rencontrent les exploitants : dépérissement (pommes de terre), altises (pommes de terre), ver de l'épi de maïs (maïs), ballonnements (cochons d'inde) et froid (poulets).Des mécanismes économiques et simples.Informations réparties de façon aléatoire chez les élèves dont les exploitations familiales sont concernées par ces problèmes.Slide28

Les enfants et les TIC au service

de la vulgarisation : exemple (piège à mélasse pour le ver de l'épi de maïs)Slide29

Page 29Remarques finales

Nous avons besoin d'une innovation significative en termes de recueil des données pour améliorer l'accès aux exploitants et aux consommateursLes trois C des TIC : La Connectivité, la Capacité à l'utiliser et les Contenus sont tous trois essentiels.Les gouvernements ont besoin de meilleures données pour prendre de meilleures décisions.Les TIC peuvent avoir un impact important pour mettre en lien les petits exploitants et les PME d'une part et les marchés d'autre part.Le fossé en matière d'accès reste pourtant majeur !