Sommaire Introduction Définition Les types de lecture Démarche Les méthodes de lecture Les difficultés du processus de la lecture Techniques de correction phonétique Exemplification Conclusion ID: 810396
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Slide1
LA LECTURE :
Types, méthodes et difficultés?
Slide2SommaireIntroductionDéfinitionLes types de lecture
DémarcheLes méthodes de lectureLes difficultés du processus de la lecture
Techniques de correction phonétique
Exemplification
Conclusion
Slide3ProblématiqueDifficultés de lecture en 5ème année
primaire: De quoi s'agit-il ?
Les enseignants de français en
5ème année primaire
se plaignent du niveau de lecture de leurs élèves : certains élèves ont un déchiffrement incertain, d’autres sont lents ou hésitants, d’autres ont un ânonnement syllabique ce qui rompt la fluidité de lecture indispensable à la compréhension.
Slide4Si pour ces élèves déchiffreurs, les difficultés sont telles qu'elles occultent complètement la question du sens , ces signaux particulièrement visibles ne pointent qu'un type de difficultés ; il y a aussi des élèves qui semblent en apparence mieux armés, parce qu'ils sont capables d'une oralisation correcte, mais ils ont des difficultés de compréhension. Où réside donc le problème ? Plusieurs facteurs doivent être pris en compte : l’élève lui-même, les contenus, l’enseignant, la méthodologie et la pratique…
Slide5Est-ce que l’élève n’a pas bien acquis les notions de base des années précédentes ?Est-ce que les contenus proposés ne sont pas adaptés ?
Est-ce que le profil de l’enseignant n’est pas tel qu’il devrait être ?
Est-ce que la méthodologie suivie n’est pas efficace ?…
Ce sont là quelques questions parmi tant d’autres qu’on doit se poser pour chercher des solutions permettant d’améliorer le niveau de nos élèves en lecture.
Slide6Compétence de fin de cycle primaire
Lire et comprendre un texte
de (80 à 120 mots) et développer un comportement de lecteur autonome.
Composantes de la compétence
Maîtriser le système graphique du français.
Séquentialiser la chaîne écrite
.
Construire du sens
.
Lire à haute voix.
IntroductionL’élève
en première année de FLE, ne se trouve pas étranger
en face de l’écrit du fait qu’il est à sa troisième année de scolarisation.
Il serait possible d’utiliser, afin de faciliter l’appropriation de l’écrit en FLE, ses acquis en langue maternelle. Les élèves seront donc plus attentifs et plus motivés.
Slide9L’apprenant sera capable de lire lors qu’il découvre que les signes de l’écriture ont un
sens. Il les interprète avec l’expression de la pensée
.
Pendant la lecture et avant d’apprendre à
lire un
texte, l’apprenant
devrait acquérir les mécanismes
de cette opération ; il doit connaître les mots, autrement dit, il sait lire
les lettres
dont se compose un mot et il connait les significations correspondantes à
cette forme
graphique. La forme et la signification sont associées dans le système du langage.
Slide10Qu’est ce que lire ?
Slide11Lionel Bettanger
précise que:
L’acte de lire est « une communication par les yeux , pour le sens sur des signes inertes et innocents: les lettres »
(C.
LICETTE .
Le guide de lecture rapide et efficace
, éd. Jeunes éditions
Study
rama, 2000)
Slide12JEAN FOUCAMBERTC’est une action qui consiste à prélever des informations dans une langue écrite pour construire directement une signification.
(J.FOUCAMBERT, La manière d’être lecteur
, éd. MOI, 1976,1980)
Slide13Donc par le mot « lire » on n’entend pas seulement « déchiffrement », mais surtout « construction du sens à l’écrit », c’est-à-dire prise de connaissance du contenu d’un texte , du sens par la lecture.
Slide14DéfinitionLa lecture est une activité de compréhension d’une information
écrite. Cette dernière est en générale une représentation du langage sous forme des symboles identifiables par la vue ou le toucher(le braille
).
Lire, c’est prendre connaissance de la pensée d’autrui par l’intermédiaire de
la lecture. Dans
cette opération intellectuelle, les mots n’apparaissent pas en eux même
à l’esprit
de celui qui lit, ils évoquent immédiatement l’idée d’une chose signifiée.
Slide15L’acte de lire fait appel à différents domaines.A- Domaine
cognitif : découvrir puis connaître les caractéristiques
des types de
textes.
B- Domaine
comportemental :
vouloir lire pour diverses raisons telles que s’informer, rêver, communiquer, etc. Autrement dit, avoir un objectif car le lecteur actif est celui qui sait comment utiliser l’information trouvée.
C- Domaine
technique : comment
parvenir au sens d’un écrit, c’est-à-dire quelles stratégies ou méthodes utiliser pour construire du sens à l’écrit.
D- Domaine
méthodologique :
adapter son mode de lecture au but recherché , au type et aux fonctions du support choisi, c’est à dire à sa spécificité.
Slide16Les activités de lecture Les activités de lecture dans cette
étape sont de plusieurs types apparemment distincts, mais dans le fond, complémentaires
.
Chacun de ces types de lecture a un objectif particulier à atteindre .
Slide17Lecture silencieuse La lecture silencieuse vise essentiellement
l’initiation
de l’élève à la lecture autonome et à l’effort personnel face à un texte ou à un document authentique où il lui est demandé d’apprécier, de comprendre et de puiser des informations spécifiques.
Slide182. La lecture studieuse C’est
une lecture attentive lors de laquelle le lecteur tire le maximum d’informations, comme s’il veut mémoriser le texte. Cette lecture est souvent faite en crayon à la main, sous
forme d'une prise de notes. Il y a fréquemment des relectures de certains
passages et parfois
oralisation du texte à retenir.
Slide193. La lecture de balayage (scanning)
Elle consiste à repérer rapidement une information précise. Elle permet par exemple de trouver dans un dépliant à quelle heure une activité aura lieu. Le lecteur
fait généralement
cette forme de lecture, lors qu'il veut simplement prendre
connaissances du
texte. Il ne désire pas connaître les détails, il veut tirer l'essentiels. Dés que
le passage
recherché apparaît, le reste est négligé. Cette activité exige une
stratégie d'élimination
, dont le lecteur doit éliminer en grande vitesse ce qui est inutile à
sa présente
lecture.
Slide204. La lecture écrémage C'est
parcourir le texte rapidement et d'une façon non linéaire; c'est en quelque sorte faire un survol du texte pour avoir un idée globale de son contenu afin de décider
s'il doit
être lu en lecture intégrale ou
non.
Slide215. La lecture active
Est celle qui adopte une personne occupée à réaliser un travail a partir d'un texte contenant
des consignes : faire
une
recette , préparer un plat , utiliser un mode
d'emploi etc
… cette lecture discontinue se caractérise par des mouvements de va-et-vient entre
le texte
et le travail a réaliser.
Slide226. La lecture oralisée Elle
consiste a lire un texte a haute voix. Elle peut avoir deux formes: soit le lecteur oralise la totalité de graphèmes (exemple la lecture d'une histoire a raconter aux enfants
); soit le lecteur jette simplement un regarde de temps à autre sur le texte écrit
en fonction
comme un
aide-mémoire
.
Slide237. La lecture sélective Est mise
en œuvre lorsqu'il y a
nécessite de faire une recherche. Celui qui consulte
un annuaire
téléphonique, un dictionnaire sait au préalable ce qu'il va trouver
comme information
. Il
y a
dans l'esprit du lecteur comme un modèle vide qui le conduit
vers l'information cherchée:
orthographe d'un train…etc. la lecture sélective est
un comportement
que nous pratiquons souvent dans la vie quotidienne.
Slide248. La lecture analytique ou méthodique C'est
une lecture qui invite les apprenants à formuler des hypothèses, que l'étude de texte
permet de les infirmer ou de les confirmer, dans le but d'enrichir le processus
de construction
de sens. Elle relie constamment observation et interprétation comme
elle place
l'apprenant en situation d'enquête et le conduit a explorer le texte selon un
objectif précis
: trouver des réponses aux question qu'ils s'est posées probablement. Cette
activité conduit
l'apprenant a une meilleure compréhension du texte.
Slide259. Lecture suivie
Elle entre dans le cadre de la lecture plaisir . Son objectif essentiel est de donner
à l’élève le goût de la lecture en l’éloignant du carcan routinier de la lecture traditionnelle et en mettant à sa
disposition
une grande variété de textes appartenant au domaine de la lecture récréative.
Slide26Démarche Pour
faciliter l’apprentissage de la lecture, on doit segmenter la tâche de lecture en trois séquences essentielles: pré lecture, lecture
et après lecture.
Slide27La pré lecture: (moment de découverte)
Cette étape est indispensable pour faciliter l’entrée dans le texte. Son but est de préparer
l’apprenant au texte qu’il va lire en admettant qu’il possède des
connaissances sur
le sujet en question. Sachant que le vocabulaire est un outil indispensable à
la compréhension
. Avant d’aborder la lecture d’un texte , il faudrait reconnaître les
mots clés
. Il y a plusieurs façons de présenter ce vocabulaire, entre autre en utilisant
des définitions
, en s’aidant par exemple d’un mot ou une expression dont le sens est proche
de celui qu’on veut trouver.
Slide28La lecture: (moment d'analyse) On commence par une lecture silencieuse au cours de laquelle on demande
par exemple aux apprenants d’identifier les principaux personnages d’un récit, les lieux où se déroulent les actions. On pose des questions du types «vrais ou faux». Les
questions orales
peuvent posées afin de vérifier rapidement la compréhension de ces
informations. Cette
lecture assez rapide, est une étape importante par ce qu’elle fournit les assises
sur lesquelles
les apprenants vont pouvoir s’appuyer pour arriver ensuite à faire une
bonne synthèse
des idées véhiculées par le texte. Il faudrait que l’apprenant profite de
ces activités
pour employer le nouvel vocabulaire qui lui a été présenté à l’étape de
pré lecture
.
Slide29L’après lecture: (mobilisation) Une
fois les informations sont extraites du texte, les apprenants vont s’en servir pour réaliser un projet ou atteindre des objectifs fixés.
Slide30Méthodes de lecture Apprendre
à lire est une priorité de l’enseignement primaire. On doit donc réfléchir
aux méthodes les plus efficaces pour réaliser cet objectif
.
Toutes
les méthodes ont pour but de faciliter l’apprentissage de la lecture et
faire de
chaque enfant un lecteur expert . Néanmoins, elles revendiquent des différences
dans le
moyen d’y parvenir
.
On distingue
plusieurs types de méthodes de lecture:
Slide31La méthode synthétique (syllabique ou combinatoire) C'est
une méthode ancienne, qui part des lettres, des sons, puis des syllabes pour ensuite lire les mots. Elle procède de manière progressive en combinant consonne et voyelle
pour obtenir des syllabes et des mots (ex :
p+a
=
pa
).
Slide32b. La méthode globale L’enfant
apprend d’ abord à reconnaître visuellement les mots ou les groupes de mots
, puis à les décomposer en syllabes puis en lettres.
Slide33c. La méthode mixte C’est
celle qui est la plus fréquemment utilisée dans les écoles. Elle combine les éléments des deux méthodes précédentes. L’apprenant apprend le code alphabétique (combinaison
des lettres, des syllabes) pour déchiffrer les mots et lire des phrases et
des petits
textes afin de comprendre le sens.
Slide34d. La méthode interrogative Avec
cette méthode l’enseignant fait participer les apprenants à travers des questions. Donc, après la préparation de cours, l’enseignant organise des activités pédagogiques
dont le but d’atteindre ses objectifs.
Slide35e. La méthode indirecte
Cette méthode est utilisée dés la 3ème année primaire (la 1èreannée de l’enseignement du français) , où l’apprenant a déjà reçu un enseignement initiale
en langue
arabe sur la base de la pratique orale et écrite. Il a donc recours aux stratégies
de la
langue arabe pour
comprendre
le français langue étrangère.
Slide36f. La méthode répétitive L’enseignant
va insister sur l’efficacité de la répétition en tant que méthode pédagogique de la langue. Lors de la lecture , la correction phonétique se fait
tout d’abord
à partir des répétitions systématiques par l’apprenant de chaque réplique
du dialogue
ou de chaque échange verbale.
Slide37Les difficultés du processus de la lecture
Lors de l’apprentissage d’une langue précisément durant l’activité de la lecture, les apprenants rencontrent des
différents niveaux
de difficultés tels que
:
Slide38Trouble concernant l’articulationTrouble concernant la
paroleDifficultés d’ordre socialDifficulté d'ordre psychologique (la lecture accompagnée d'inquiétude
)
Difficulté d'ordre cognitif (connaissances linguistiques limitées
)
L'effet de la
pédagogie
Difficultés
neurologiques
La dyslexie
Slide39Durant les visites que nous avons effectuées dans les classes de fran
çais, nous avons remarqué que les enseignants tâtonnent en proc
é
dant
à
la correction de la prononciation de leurs
é
l
è
ves. En effet, en confrontant leur pratique avec les principes d
’
un enseignement correct du fran
ç
ais, il s
’
est av
é
r
é
que les enseignants ne travaillent que sur des
é
l
é
ments isol
é
s.
(r
é
p
é
tition m
é
canique d
’
un mot ou d
’
un son isol
é
),
alors qu
’
en r
é
alit
é
un son n
’
existe jamais isol
é
, il est toujours entour
é
d
’
autres sons avec lesquels il forme une cha
î
ne sonore.
En outre, le diagnostique des fautes des
é
l
è
ves doit se faire aussi bien sur le plan acoustique que sur le
Techniques de correction phonétique
Slide40plan articulatoire. Par ailleurs, la correction de la prononciation doit s’
intégrer à
l
’
apprentissage global de la langue,
c.
à
.d
toutes les composantes de celles-ci (rythme: intonation, accent, prosodie
…
) doivent être utilis
é
es aussi bien pour le diagnostic des fautes des apprenants que pour leur correction. Il s
’
av
è
re donc n
é
cessaire, pour l
’
enseignant, avant d
’
envisager de pouvoir corriger les erreurs, d
’
examiner les symptômes de poser un diagnostic et seulement apr
è
s cela, de proposer un traitement.
La correction :
Pour corriger la mauvaise prononciation d
’
un ph
é
nom
è
ne, plusieurs techniques de correction phon
é
tiques peuvent être mise en
œ
uvre.
Slide41Citons entre autres :1-Isoler le son mal prononc
é et l’associer avec un autre son qui favorise la bonne prononciation.
Exemple
:
[y] (
U
) est un son labialis
é
( il se prononce avec une tr
è
s forte projection des l
è
vres avant). Il faudrait le faire pr
é
c
é
der d
’
une consomme qui favorise cette labialisation comme : [p], [b], [m]
ne pas h
é
siter
à
exag
é
rer la labialisation).
Associer
[i] avec [s] et [z]. , s
i
z
i
2-
R
é
introduire le son dans un
é
nonc
é
(mots et phrases) et le placer dans une position que le fera prononcer avec la plus forte tension.
Exemple
:
pour
[y] : le ciel est p
u
r (exag
é
rer la labialisation).
Slide42 pour [i]-En fin de phrase interrogative
(position finale : c’est ic
i ?
Au d
é
but d
’
une phrase ( position d
’
attaque) :
i
l
est beau.
3-
proc
é
der par r
é
p
é
tition : R
é
p
é
ter une s
é
rie de mots contenant le son mal prononc
é
.
Quelques conseils concernant les techniques de r
é
p
é
tition.
La r
é
p
é
tition est individuelle.
La r
é
p
é
tition se fait apr
è
s
é
coute du mod
è
le.
Apr
è
s trois ou quatre r
é
p
é
titions, redonner le mod
è
le.
Un
é
l
è
ve qui prononce bien peut servir de mod
è
le.
Slide43 Habituer les é
lèves à
produire
gestes
et
mimiques
.
Eviter les sons isol
é
s.
R
é
p
é
ter le mot avec son d
é
terminant (article-le-un-la-une).
4-
Proc
é
der par opposition :
4-1
–
Au niveau auditif (discrimination auditif) :
Ecrire dans un tableau des phon
è
mes sur lesquels va porter le travail,
par exemple
[o]
o mot
et
[u]
ou
oue
eau l
’
eau
genou
roue
au gauche
Tu as un c
ou
t
eau
? Tu as une m
o
t
o
?
Demander aux é
lèves d’
indiquer en mettant une croix dans la case correspondante, s
’
ils ont rep
é
r
é
le
[
o
] ou le son [
u
] ( OU ).
Commencer l
’
exercice en prenant soin d
’
indiquer toujours un exemple :
Exemple
: Vous allez entendre une s
é
rie de phases (six) dans lesquelles se trouvent les deux sons
[o] et [u]. Cocher la case qui correspond au son entendu sur la grille que vous avez entre les mains (ou que vous reproduisez sur une feuille).
Les mots qui conviennent les sons pr
é
cit
é
s sont par
exemple : m
ou
ton
–
m
oto
–
p
o
mme
–
j
ou
r -
j
o
lie.
Slide454-2 –Au niveau articulatoire :
Travailler le son mal prononcé
avec d
’
autres sons avec lesquels il peut y avoir des confusions :(ressemblance )
(
é
, et, er,
ez
)
Exemple :
[ i] - [e]
poup
é
e
p
ou
pie
[y] - [u] s
u
r
s
ou
r
[y] - [ i] s
u
r
s
i
r
[o] -[u] c
ou
t
eau
c
o
t
eau
[
œ
] - [u]
f
eu
f
ou
[t] - [d]
fê
t
e
d
ette
[
p] - [b]
p
al
b
alle
Slide46Exemplification Sonvisagemaigreentour
édunbéguin
sansbordure
é
taitpluspliss
é
deridesquune
pommedereinettefl
é
trieetdesmanchesdesa
camisoled
é
passaientdeuxlonguesmains
Auxarticulationsnoueuses
Slide47Sleon
une édtue de l'Uvinertisé
de
Cmabrigde
, l'
odrre
des
ltteers
dnas
un
mto
n'a pas d'
ipmrotncae
, la
suele
coshe
ipmrotnate
est que la
pmeirère
et la
drenèire
soientt
à la
bnnoe
pclae
. Le
rsete
peut
êrte
dnas
un
dsérorde
ttoal
et
vuos
puoevz
tujoruos
lrie
snas
porlblème
. C'est
prace
que le
creaveu
hmauin
ne lit pas
chuaqe
ltetre
elle-mmêe
,
mias
le mot
cmome
un
tuot
.
Slide48Conclusion
Apprendre à lire est une préoccupation des parents d’élèves et des enseignants.L’école
doit faire en sorte que ses élèves soient des lecteurs actifs et
curieux. Cette
constatation peut paraître paradoxale si on considère que l’école est par excellence le lieu où l’élève va rencontrer le livre
.
La
lecture demeure donc la clé de voûte de tous les savoirs. Elle est le moyen d’acquisition des connaissances :
On
lit afin d’acquérir les mécanismes du langage et de la communication, tout le long du processus de l’apprentissage.
On
lit pour : se documenter, s’ informer, argumenter, se détendre, connaître le monde…Mais on lit aussi par
plaisir
ou par
habitude
.
Slide49Merci de votre attentionet
de votre patience