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L’ AUDIENCE DU MÉDIA COURRIER L’ AUDIENCE DU MÉDIA COURRIER

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L’ AUDIENCE DU MÉDIA COURRIER - PPT Presentation

OU COMMENT INNOVER AVEC LA MESURE DUN MÉDIA HISTORIQUE Eric Trousset Président GIE Balmétrie et JeanFrançois Canguilhem Gérant Canguilhem Consultant NON si lon se réfère aux habitudes marché et au peu ID: 785427

les une dia courrier une les courrier dia est semaine support marque pas indicateurs par audience des lecture pour

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Presentation Transcript

Slide1

L’ AUDIENCE DU MÉDIA COURRIEROU COMMENT INNOVER AVEC LA MESURE D’UN MÉDIA HISTORIQUE ?

Eric Trousset

Président, GIE

Balmétrie

et

Jean-François Canguilhem

Gérant, Canguilhem Consultant

Slide2

NON, si l’on se réfère aux habitudes marché et au peu

d’études l’incluant comme tel

Le courrier est il un média?

Non

si l’on se réfère à son statut actuel

quelques questions depuis 2 ans

uniquement l’imprimé publicitaire « noyé » dans la presse

Mesures du marché du publicitaire: traité séparément du

plurimédia

audience

Il y a 3 ans à la même tribune ….

Slide3

1 - D’un point de vue médiaplanning, le courrier est-il vraiment un média comme les autres ?

2

– Présentation des concepts médiaplanning adaptés au média courrier

Slide4

1 - D’un point de vue médiaplanning, le courrier est-il vraiment un média comme les autres ?

Slide5

Le paradoxe: essayer de faire du courrier un média comme les autres alors qu’il n’est pas tout à fait comme les autres….

Slide6

A l’instar de la communication extérieure, deux points essentiels pour le média courrier :Le courrier, un média pas comme les autres ?La publicité = le contenu

Pas de contexte rédactionnel sous jacent

Courrier = support et message se confondent avec la marque

Slide7

Le courrier, un média pas comme les autres ?La diffusion est très sélective

Potentiellement, tout le monde peut

recevoir la TV ou la radio et donc les campagnes publicitaires

associées.

Avec le courrier, pour une campagne

donnée,

ne sont touchés que les individus réputés éligibles et

choisis

par

l’annonceur.

Slide8

Le courrier, un média pas comme les autres ?Le message passe par un support unique

En TV, ou en radio, il faut trouver les meilleurs moments (1/4 d’heure, écran), en presse les meilleurs titres, en communication extérieure les meilleurs réseaux….

Avec le courrier, pas de problème de choix de supports, pas de hiérarchie

Slide9

Si la boîte aux lettres est collective (=foyer), la lecture est, elle, totalement individuelle.Le courrier, un média pas comme les autres ?L’usage est individualisé

Si

la consommation délinéarisée progresse, la nature même de la télévision reste collective et liée à un

flux.

Slide10

Le courrier, un média pas comme les autres ?La notion de campagne est uniqueUne notion de campagne spécifique pour le courrier :

au mieux 1 campagne par semaine

Exemple: imprimé publicitaire Carrefour, campagnes nationales

Semaine 35

Semaine 36

Semaine 37

+ campagnes thématiques qui n’ont pas nécessairement les mêmes zones de distribution

. . . .

Slide11

Le courrier, un média pas comme les autres ?La notion de médiaplanning sera unique, elle aussiPuisque la notion de campagne est spécifique au média:

Au mieux 1 campagne par semaine

Pas de distribution des contacts, pas de répétition au sens médiaplanning!

Slide12

Mais au final, que cherche-t-on vraiment à mesurer?L’audience d’une campagne:Par exemple: combien de lecteurs d’un imprimé publicitaire? Ou d’un courrier adressé?

Elaborer un médiaplanning au point de vente:

Par exemple: optimiser une zone de distribution en fonction de l’affinité au média

Slide13

GIE qui réunit les principales parties prenantes du marché pour mettre en place la 1ère mesure d’audience du média courrier

8 mois de tests et pilotes

Juin 2013 : 1ère publication des résultats

(période

Mars 2012 – Février 2013)

Depuis l’origine accompagnement

par le CESP.

BALMETRIE, une réponse interprofessionnelle

Slide14

Les spécificités du média combinées aux attentes ont dicté les choix méthodologiques

Questionnaire media-marché

Carnet de lecture sur 7 jours consécutifs

Recrutement

de l’ensemble de l’échantillon

au téléphone

Recueil

par questionnaires auto-administrés

11 900 individus âgés de 15 ans et plus

Sur internet pour les internautes

Sur papier pour les non-internautes

74%

26%

Slide15

2 – Présentation des concepts médiaplanning du média courrier

Slide16

Concept d’audience

Quels supports ?

Quels contacts ?

Slide17

Notion de support en

médiaplanning

Une question majeure se pose : de quel

support

veut-on évaluer les performances ?

Slide18

Les supports

mesurés

Imprimé

publicitaire

(formats

mesurés

)

:

Tract, courrier d’information

1

Carte, carton, dépliant

3

Prospectus, flyer

2

Courrier

adressé

:

5

Courrier générique de

t

ype

commercial

Catalogue

4

Slide19

Dans le média courrier, la marque*

n’est pas un banal critère d’analyse, mais une

entité à part entière

, duale de celle de support, qui s’avère plus importante que celle de support, au point qu’elle la supplante.

*le terme de marque est utilisé pour marque ou enseigne.

Notion de marque

Slide20

Une première avec le courrier :

dans aucun autre média, le concept d’

audience

d’une marque (tous supports réunis), ne trouve sa place.

Notion de marque

Slide21

Les mêmes indicateurs que ceux d’un support:

A

udience,

Couverture,

Volumes de lectures,GRP,Taux de lecteurs et de lectures,

Taux de reprise en main,Taux de circulation

.

Quels

indicateurs

de performance pour

une marque ?

Slide22

Avec le média courrier la marque délivre ses GRP directement

et non pas à travers ceux d’un support exogène.

*Voir l’exposé de JF Canguilhem et de

Marie-Pierre

Cueff au séminaire média de l’IREP de décembre 2012.

En ce sens, parmi tous les médias, il s’agit des GRP dont la

granulométrie est la plus fine*, car construits sur des contacts avec le message.

Quels

indicateurs

de performance pour

une

marque ?

Slide23

Le

recueil des carnets

de lecture

s’étale

sur les 52 semaines de l’année et de façon très inégale. Or, le critère semaine n’est pas un critère de redressement

de l’échantillon de l’enquête d’audience.

Un point à

résoudre

:

bien évaluer

les marques qui communiquent peu fréquemment

dès lors, cet échantillon est certes représentatif pour

une marque qui communique

tout au long de l’année, mais il ne l’est plus pour une marque qui ne communique que quelques semaines.

Slide24

Imprimé

publicitaire

Auchan,

campagnes

successives

S37

S38

S39S40

S41

I

mprimé

publicitaire

SEAT, campagne isolée

S37

S38

S39

S40

S41

Exemples

Slide25

Il existe donc

un

problème d’

échantillonnage

, quant à la prise en compte de la

dimension temps. Un algorithme de correction est à l’étude.

Un point à

résoudre

:

bien

évaluer les marques qui

communiquent peu

fréquemment

Slide26

Constat: la distribution des 26 millions de BAL est exceptionnelle

Les performances des lectorats doivent être ramenées, comme dans tous les médias géo-fractionnaires, aux zones de distribution de

leur marque respective.

Un second point à

résoudre

:

prendre

en

compte

la dimension géo-fractionnaire des marques

Slide27

Exemple

des zones de distribution

d’une

marque

Slide28

Deux catégories de résultats:

Résultats

Performances

d’une campagne

spécifique à

un

annonceur : soit

centrée

sur la zone de distribution d’un point de vente, soit

consolidée

au niveau régional ou national.B

A

Portée globale

du média courrier, par support ou par marque.

Slide29

Indicateurs

Seule la catégorie de résultats

A

justifie

des indicateurs propres au média courrier.

Les indicateurs de la catégorie

B

sont

en tous points

conformes

à ceux utilisés dans tous les autres médias

.

Slide30

Les indicateurs de la catégorie B justifient l’attribution, à chaque individu, d’une

probabilité

de lecture.

Grâce à cette probabilité individuelle on pourra déterminer le

taux de lecteurs*

du support utilisé, par une marque, dans une campagne donnée et pouvoir ainsi qualifier cette dernière par une

couverture et un

GRP.*ainsi que le taux de lectures

.

Indicateurs

pour

une

campagne

Slide31

Mais, seulement une couverture et un GRP …Pas de distribution de contacts !

Toute campagne courrier d’une marque concerne

un seul

support, distribué sur

une seule

semaine.

Pas de

duplication entre supports.

Pas d’accumulation d’audience par support.

Indicateurs

pour

une

campagne

Slide32

S’agit-il pour autant d’un médiaplanning simpliste ?

NON, parce qu’il s’agit d’un médiaplanning

géo-fractionnaire

, dont toute la subtilité est centrée sur son ciblage. Ce dernier consiste, en effet, à déterminer, par

affinité

, quels sont les quartiers de la zone de chalandise d’un point de vente qu’il faut distribuer.

Slide33

NON, parce qu’il s’agit d’un médiaplanning dans lequel existe la

dualité

lecteur

*lecture.

Le dispositif de mesure permet

de distinguer premières lectures et reprises en main. Et, c’est nouveau, parce qu’on en est privé en presse

.

S’agit-il pour autant d’un médiaplanning

simpliste ?

Slide34

 présence de deux indicateurs :

nombre

de

lecteurs,

volumes de

lectures.

nombre de visiteurs uniques,

volumes de

pages vues.

Un peu comme sur internet, où l’on dispose des deux indicateurs :

Indicateurs

Slide35

A

Indicateurs de

portée globale

du média courrier.

1

Audience

LDS

de référence d’un support ou d’une marque (

Lecture Dernière

Semaine), analogue à l’audience LDP d’un titre en presse.

2

GRP,

construit sur le

nombre global de lectures = 1ère lectures + reprises en main.

Indicateurs classiques

Slide36

Dans les deux médias les supports sont caractérisés par une durée de vie supérieure à la durée d’insertion.

Indicateurs

Analogie

entre LDS et LDP

en presse, un titre peut être

lu au-delà

de sa

période de parution

.

De même, dans

le média courrier, un document peut-être

lu au-delà

de sa

semaine de distribution.

Slide37

Indicateurs

Mais, de même que la mesure de l’audience

d’un titre est limitée à sa

période de parution

, la mesure de l’audience du courrier est limitée à sa

semaine de distribution

.

Durée de vie d’un courrier

Slide38

 Comme en presse: hypothèse de

compensation

entre les lectures des N° anciens, lus durant la période de parution du N° en cours, et les lectures de celui-ci, effectuées au-delà de cette période.

A

vec, en plus, pour le média courrier,

la volonté de distinguer les

premières lectures des

reprises en main.

Slide39

Audience LDS d’un

courrier

L’audience

LDS

d’un support du média courrier est une audience brute

cumulée,

semblable à l’audience

LDP d’un titre de presse.

Il s’agit de

premières

lectures

Référent = volume d’exemplaires distribués

Slide40

Audience LDS d’un support

ou

d’une

marque

Par définition, l’audience

LDS

d’un support ou d’une marque est le nombre d’individus ayant eu au moins une première lecture

d’un exemplaire distribué durant la dernière semaine.(

Lecture Dernière

Semaine)

1

Slide41

Pour un support, il s’agit d’au moins une première lecture d’un exemplaire distribué, toutes marques réunies

Pour une

marque

, il s’agit d’au moins une première lecture d’un exemplaire

distribué, tous supports réunis.

Indicateurs

Les

limites

de

l’analogie entre LDS et LDPAvec le média courrier :

Slide42

La notion d’audience de référence d’un support (tract, catalogue, dépliant…) se calcule à partir de l’ensemble des campagnes du marché, considérées dans leur ensemble, ce qui n’a pas de sens en presse.

les i

ndicateurs dits de

portée globale

de ces supports, ne sont pas à confondre avec

les indicateurs de performance d’une campagne donnée d’une marque.

Indicateurs

Les

limites

de

l’analogie entre LDS et LDP

Slide43

En aucun cas, dès lors qu’elle est identifiable,

une

reprise en main

,

qu’elle soit relative à un document distribué durant la semaine en cours ou pendant une semaine antérieure, ne peut servir à comptabiliser un lecteur.

Un lecteur = une première lecture

Ainsi, seul un dénombrement de premières lectures peut conduire à la détermination d’une

audience.

Première lecture

Slide44

En presse, on ne sait pas différencier une première lecture d’une reprise en main, pas plus qu’on ne sait si la lecture concerne le N° en cours ou un N° ancien. Ce défaut de la mesure d’audience de la presse, par

la

question

DDL

(Date de

Dernière Lecture), a été fustigée, en son temps, par François Dalbard

Martin qui a,le premier, proposé le concept de

réplication.

Première lecture

Slide45

Dans le média courrier, une réplication est la reprise en main d’un document, effectuée durant une semaine ultérieure

à sa semaine de distribution.

En presse, une

réplication

est

la reprise en main d’un numéro donné, effectuée après sa période de parution.

Réplication

Slide46

X

X

X

X

X

X

Patron de lecture d’un

courrier

Semaine X-1

Semaine X en cours

Semaine X+1

Réplication

=

1

ère

lecture

X

=

reprise en main

Réplication

des seuls exemplaires distribués en semaine X

i

1

i

2

i

3

i

9

i

6

Slide47

X

X

X

X

X

X

X

X

X

X

X

X

Patron de lecture d’un

courrier

Semaine X-1

Semaine X en cours

Semaine X+1

,

X

=

exemplaires distribués en semaine X-1

,

X

=

exemplaires distribués en semaine X

Réplication

i

1

i

2

i

3

i

9

i

6

Slide48

En presse, les réplications sont comptabilisées comme lecteurs à mauvais escient.

Cette erreur est évitée pour le média courrier, grâce à l’identification des

premières

lectures et grâce à l’identification de la semaine de distribution (en 2014, on recueillera

cette dernière information).

Réplication

Slide49

2

GRP d’un support

ou

d’une

marque

La définition de cet indicateur,

basé sur le nombre global de lectures délivrées par le support ou la marque

durant la dernière semaine, est en tout point identique à celle adoptée dans les

autres médias.

Slide50

A

3

Taux de

lecteurs

brut

élémentaire

d’un support ou d’une marque.

4

T

aux de

lectures brut élémentaire d’un support ou d’une marque.

Indicateurs spécifiques

Indicateurs de

portée globale du média courrier.

Slide51

Courrier

non

adressé

:

Taux

de

lecteurs

brut

élémentaire

3

Soit R(

a,d,t

)* le référent dudit support.

Soit A(

a,d,t)* l’audience LDS d’un support.

*Les grandeurs A et R sont relatives au secteur d’activité a,

au département d et à la semaine t

datée.

Par définition, le taux de lecteurs

brut élémentaire du support est le quotient :λ(a,d,t) = A(

a,d,t

)/R(

a,d,t

)

Slide52

Courrier

non

adressé

:

Taux

de

lectures

brut

élémentaire

Soit R(

a,d,t

) le référent dudit support.

Soit N(

a,d,t) le nombre de contacts délivrés par un support.

Par définition, le taux de lectures brut* élémentaire du support est le quotient :κ

(a,d,t) = N(a,d,t

)/R(a,d,t)

4

Slide53

BaImétrie, une première mondiale à cette échelle partie d’une feuille blancheCourrier vs autres médias: des indicateurs médiaplanning identiques dans leur nature mais adaptés aux spécificités de la notion de campagne

Une approche robuste grâce au professionnalisme d’IPSOS

MediaCT

et au soutien actif du CESP…

…qui n’enlève pas des aspects « test &

learn »

Conclusion et perspectives

Slide54

Le traitement de l’enquête est dores et déjà disponible à travers l’Atelier Courrier (JFC)Mais le médiaplanning ne sera disponible qu’en 2015 après la refonte de la question de 1

ère

lecture

En parallèle, la nécessité de résoudre l’accessibilité à certaines informations (données distribuées).

Conclusion et perspectives

Slide55

Merci de votre attention